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Ma langue au chat

by Marine Bercot

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1.
L'infiniment 03:08
Je manque d'humour Quand il s'agit de toi Je manque de toi tout court N'est-ce pas ? Mais je m'incline Devant le vide Je me jette Quelqu'un me tire La douleur de te connaître Comme être Je veux commettre L'irréparable, l'indicible Sauter du moins un Est-ce le bon étage Pour les moins que rien ? Je périrais Si jamais je vivais Quand même Qui croirait que je t'aime ? Je veux qu'on dise que je t'aime à mourir Je périrais si jamais Je vivais quand même Qui croirait que je t'aime ? Je me traîne Parterre, en dessous Du niveau de la mer Des vagues assasines Ou l'infiniment air Je taille dans le rouge Afin que le manque Coule jusqu'à toi Amuser le roi Faut-il que j'abuse De moi ? Dis-moi Je taille dans l'amour Je jette l'ancre Dans le sable émouvant Je soulève un tank Une tâche d'encre Je fuis Je périrais si jamais je vivais quand même Qui croirait que je t'aime ? Je veux qu'on dise que je t'aime à mourir Je périrais si jamais Je vivais quand même Qui croirait que je t'aime ? Tu me manques L'infiniment toi Tout ce désamour Qu'on se dispute Qu'on se destine L'amour du monde qui se débine Je veux davantage J'exige le partage De nos sens Insensiblement Je te demande En mariage Dans l'autre monde.
2.
Ani 03:32
Toute seule Sur un tapis géant Rasta dorée Les cheveux roulés Le visage et les dents La scène à croquer Ani rêve et Ani rit Toute seule Sur la scène en blanc Guitares garées En file indienne « don’t be shy » dit-elle Et elle donne, la belle, Sa langue au chat Pas de chi-chi, de discours, Des ribambelles de rimel Pas d’inquiétude Sur le visage d’Ani Animale, acrobatie La scène à ses pieds Ani roule et Ani rit Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Volent encore au-dessus de mon nid Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Servent de marque-page à la lune Toute seule Elle troque Sa folie contre la mienne Sa joie contre la leur Ses peurs contre les nôtres C’est forcé qu’on l’entoure Ani meurt et Ani court Toute seule Elle sent l’amour Besoin de personne Y’a pas pire qu’une étoile Enroulée dans un châle Qui dégringole Mais elle remet, la belle, La balle dans son camp Ce lundi d’automne Je me demande Si Ani prie Et si oui que lui dit-elle ? Qu’accroche t-il à ses ailes ? J’applaudis même pas fort Et je pense à Rickie Je pense à Rickie, Bonnie, Charlélie A Chris, à Joni Je regarde Ani, je me dis Il faut de tout pour faire un monde Ne pas oublier les i, Ni le o de Tom, le a de Jonatha Il faut rire et grandir Donner sa langue au chat Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Volent encore au-dessus de mon nid Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Servent de marque-page à la lune Et moi je reste là Pour un dernier caprice Le dixième d’un d’indice Un ultime éclat Alors une dernière fois Une dernière mélodie Elle va donner Ani Sa langue au chat, Sa langue au chat...
3.
Toute seule Sur un tapis géant Rasta dorée Les cheveux roulés Le visage et les dents La scène à croquer Ani rêve et Ani rit Toute seule Sur la scène en blanc Guitares garées En file indienne « don’t be shy » dit-elle Et elle donne, la belle, Sa langue au chat Pas de chi-chi, de discours, Des ribambelles de rimel Pas d’inquiétude Sur le visage d’Ani Animale, acrobatie La scène à ses pieds Ani roule et Ani rit Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Volent encore au-dessus de mon nid Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Servent de marque-page à la lune Toute seule Elle troque Sa folie contre la mienne Sa joie contre la leur Ses peurs contre les nôtres C’est forcé qu’on l’entoure Ani meurt et Ani court Toute seule Elle sent l’amour Besoin de personne Y’a pas pire qu’une étoile Enroulée dans un châle Qui dégringole Mais elle remet, la belle, La balle dans son camp Ce lundi d’automne Je me demande Si Ani prie Et si oui que lui dit-elle ? Qu’accroche t-il à ses ailes ? J’applaudis même pas fort Et je pense à Rickie Je pense à Rickie, Bonnie, Charlélie A Chris, à Joni Je regarde Ani, je me dis Il faut de tout pour faire un monde Ne pas oublier les i, Ni le o de Tom, le a de Jonatha Il faut rire et grandir Donner sa langue au chat Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Volent encore au-dessus de mon nid Si vous voyez Ani Dites-lui que ses plumes Servent de marque-page à la lune Et moi je reste là Pour un dernier caprice Le dixième d’un d’indice Un ultime éclat Alors une dernière fois Une dernière mélodie Elle va donner Ani Sa langue au chat, Sa langue au chat...
4.
Les garçons n'ont pas les sourcils longs Ces sourcils que l'on baise Ces baisers que l'on donne avec adoration Des envies que l'on braise Les garçons ne parlent pas de soi De soi-même c'est indécent Des soucis de passage, pas d'état D'âme qui lamine en passant Les garçons se blessent Renaissent en apparence Encaissent pour apprendre Les garçons se baissent Esquissent un corps dense Esquivent une âme tendre Boys don't cry Imagine les larmes Des gouttes parme A l'odeur de filles... Les garçons ont des lunettes en pierre Pierre qui rouille se casse en douce Ballons-guinguette pour sécher l'air Lâcher de trouille, paquet de frousse Les garçons ne disent rien sur l'amour Ils font tout pour le faire Poser des mains sur des seins lourds Piller des âmes de femmes-mères Les garçons se dressent S'adressent à leur désir S'empressent de venir Les garçons délaissent Volent à l'étalage Déchirent la page Boys don't cry Imagine les larmes Des gouttes parme A l'odeur de filles
5.
Parler d'une saison, des feuilles qui coulent Du jaune qui dégouline d'un arbre en larmes Parler des papillons, d'un baiser du bout des cils Parler d'une vague au bord d'une âme un peu fragile C'est comme ça aussi qu'on s'aime En prenant la peine De se dire un mot Sur cette saison, les papillons Des mots sans rien D'important Des mots quand même Des mots qui prennent La vie en cours... Des mots d'amour Parler d'un visage, d'une ride apparue Depuis peu et lui donne l'air déçu Parler des orages, de l'éclair au bout d'un fil Parler d'un déluge au bord d'une vie assez tranquille C'est comme ça aussi qu'on s'aime En prenant la peine De se dire un mot Sur cette saison, les papillons Des mots sans rien D'important Des mots quand même Des mots qui prennent La vie en cours... Des mots d'amour
6.
T'es passé comme un ange Un ange aux cheveux fins Un ange à frange, enfin C'est une image Pour dire combien T'avais l'air sage L'air incertain Entre deux mondes Je m'souviens de ton sourire Charmeur et enfantin Des mines de clown Ta manière de fuir Ta manière de dire Entre deux mondes "Toi je t'aime bien... Toi, j't'aime bien..." Entre nous tu me manques Parce que tu te planques Comme une ombre chinoise Entre deux mondes Es-tu finalement seulement différent ? Entre deux mondes Es-tu finalement seulement différent ? T'avais une jolie voix N'est-ce pas ? Je m'en souviens par bribes Je l'entends parfois J'ai gardé peut-être Un air de Stella Une seule lettre de toi Je n'ai pas de photo Un seul numéro ça ne répond pas. Entre nous tu me manques Parce que tu me plantes Au milieu d'une phrase Entre deux mondes Es-tu finalement seulement différent ? Entre deux mondes Es-tu finalement seulement différent ? Tu te tenais droit Le sourire éventuel Bon public même Parfois Tristesse dans les yeux Un regard las Un regard en avance Celui qui sait déjà Que la vie se balance Entre deux mondes Et ton regard vert Planté dans le vide Entre deux hivers Vert et livide Tes doigts fouillant le piano La tête qui bouge A côté du tempo Entre deux musiques Loin du public Entre deux mondes Es-tu finalement seulement différent ? Entre deux mondes Es-tu finalement seulement différent ?
7.
Au bord 02:12
8.
Quand j'vois des amoureux se tenir Par le cou, par la taille, la fermeture éclair Je ne souris plus, je vois ma tête qui pense "Ah...! Vous croyez qu'ça s'passe comme ça ?" Vous croyez qu'ça dure, ne mentez pas Vous y croyez dur, comme fer, ça se voit. J'ai croisé quelqu'un Qui n'y croyait pas Un qui touchait du bois Mais c'est pire que l'espoir Un visage tendu vers le noir Un qui va toucher l'fond Le fou du roi Le dindon Alors c'est quoi la solution... Jeter des bouteilles à la mer Une bouteille par continent Le bateau ivre des amants Jeter des bouteilles, au fond, C'est comme pisser dans un violon Faut pas croire que c'est solide Les bras, les mains, la bouche Tout ça, c'est la preuve de rien Comme vous êtes sûrs, comme vous êtes candides A vos pieds, il y a des vers à la louche Des maux à la pelle et des rateaux, Des hommes blessés, Des femmes involontairement tristes Regardez-moi ces touristes ! Le vent tourne Tenez-vous bien Tant qu'il vous pousse, Agrippez-vous à quoi ça sert Tout ça c'est de l'air, C'est du vent, S'il arrive par derrière Vous pousse, vous enlève Vous pose sur un nuage S'il arrive en pleine face, il n’y a rien à faire Il a le droit, le vent contraire Jeter des bouteilles à la mer… Ca tourne mal, c'est un point de vue Car pour d'autres c'est idyllique Ils viennent d'avoir le déclic Ils se prennent. Sans hésiter. Vous êtes déçue le mot est faible Le vent fut fort, sept à huit nœuds Je le vois dans vos yeux La tempête et ses rides La tempête et ses creux Des cratères dans le seul cœur Auquel on ait à faire. Mais votre amour que devient-il ? Il fait la guerre, il change de file Il pense qu'à gauche ça va plus vite Ca va plus vite quand on quitte Vous êtes du mauvais côté Du côté des quittés C'était à droite alors Qu'il fallait rester Car votre amour, que devient-il ? Entre la bosse et la cambrure Entre la messe et la bavure Jeter des bouteilles à mer… Et votre amant, votre corsaire En train de rire De pourrir l'univers En train de dire les mêmes mots De reprendre les mêmes photos Le vent souffle comme hier Le vent souffle comme il faut Il a ligoté les ordures Broyé vos souvenirs Jeté les larmes par-dessus bord Jeté les guerres et les remords. Et votre amour, votre ex-bien Pendu à un autre sein N'y pensez plus car le vent tourne N'y pensez plus c'est pas malin Ca ferait ricochet Ca sauterait sur les blessures Pour au final toucher le fond Le fond de l'air est bien meilleur Quand on est seul en haut du phare, Tout seul peut-être, mais peinard.
9.
Quand la mort vous emmène Pas lui mais tous les autres Dans le camp des visages blêmes Des épaules qui se vautrent Des joues qui se creusent Des cernes qui se mouillent Quand une nuit orageuse Un train de vie se rouille Il n'y aura pas de drame Pas de défaut dans l'programme Planquez vos larmes C'est pas le moment Pour la douleur dedans, Pour les discours sur l'amour On n'a pas le temps Pas le temps... Un seul être vous manque Et faut tout repeupler Trouver des tas de planques De souvenirs animés Ne plus chercher son corps Accompagner son âme Sauvegarder le décor Ne pas baisser les armes Il n'y aura pas de drame Nos souvenirs ont tant de charme Je fonds, je ris aux larmes J'fais pas semblant Y'a d'la douleur dedans, Les discours sur l'amour On n'a pas le temps On n'a pas le temps On n'a pas le temps... Je crois que je déraille Tu me laisses sur la paille Il n’y a rien qui m'aille Que les retrouvailles Je crois que je déraille Tu me laisses sur la paille Post mort thème Comme je t'aime Tu m'laisses sur la paille Post mort thème J'crois qu'j'déraille... Il n'y aura pas de drame Pas un coin de cœur qui saigne Rien qui vous gêne J'fais pas semblant Y'a d'la douleur dedans Pour les discours sur l'amour On n'a pas le temps… On n'a pas le temps... Pas le temps…
10.
Mes tartines grillées Ton sucre qui tourne Noyé dans le café Le beurre doux, le magazine... Comme c'est doux quand j'imagine Le bruissement du journal La paume de ta main Sous le satin, sur ma cuisse Sans me regarder Comme j'ai aimé... Sais-tu tout à fait à quel point je t'aime ? Je te le redirai pourvu que tu reviennes Sais-tu tout à fait sur quel pied je danse ? Sur celui de la chance Faut-il que je cesse de t'aimer De force De force faut-il t'amadouer Et t'embrasser De force faut-il imaginer Que tu m'aimes aussi Que j'ai le droit De t'aimer Et puis Recommencer Si j'te disais Comme je t'aime, comme je tremble Peut-être tu saurais Comme je t'aime, comme je tremble Comme je t'aime Je peux l'écrire 100 fois Le chanter à la fois Et ta voix Tes yeux, tes sourcils Tes cheveux, tes draps Je voudrais dormir dans tout ça Ecouter la pluie, le silence Etre ensemble, s'aimer Ne plus descendre Jamais. Sais-tu tout à fait à quel point je t'aime ? Je te le redirai pourvu que tu reviennes Sais-tu tout à fait sur quel pied je danse ? Sur celui de la chance Faut-il que je cesse de t'aimer De force De force faut-il t'amadouer Et t'embrasser De force faut-il imaginer Que tu m'aimes aussi Que j'ai le droit De t'aimer Et puis... Nos petits-déjeuners A l'ombre de rien Longs comme si enfin C'était la seule chose à faire De nécessaire... Avant demain.
11.
Je mime une saison C'est le temps qui paraît long J'ai fait le tour du cadran Il est sept heures moins dix ans C'est l'hiver, d'abord l'hiver L'ivresse blanche et le mohair Une boule de neige en coton De fausses fleurs sur le balcon Je t'ai vu de là-haut Du huitième ciel à vélo Tu perds la clé du Père Noël J'ai vu ta barbe beige-miel Mon rêve colle pas avec tout J'ai seulement froid dans le cou Y'a des cloches mal accordées L'hiver s'est fini sur un ré Automne-hiver... Le printemps s'accélère Accidentellement vert Véritablement mort Je pense donc je dors J'encaisse tes doux Coups passe-partout Je deal et je prive Pour que l'un de nous vive J'ai maudit ce rideau Ridiculement clos Je me méfie encore De l'eau, du loup qui dort L'été sort ses crocs Moins de peur que de mots L'humour perd ses feuilles Et perdure en plein deuil Automne-hiver... Automne-hiver... ça blesse mais j'enjolive A tel point que j'esquive Je caresse un espoir J'espère mais je m'égare L'automne fait l'appel Esquisse une lune de miel Les prémisses tournent court C'était donc ça l'amour ! L'hiver n'est plus d'accord Mars a viré de bord Retourné sa veste blanche Pris son air du dimanche Automne-hiver... Automne-hiver... Automne-hiver... Automne-hiver... Je me réveille tu es là Tu as tiré tous les draps Tu me dis "c'est samedi..." Et les cloches sonnent le mi
12.
13.
Le Sens 05:03
L'animal horizontal L'animal ignoble animal Crache dans mes veines Le poison d'un salaud Petit médiocre et pâle Animal infâme Au fond de l'arêne Crêve la dalle Et pisse les mots Chasser les lâches Lâcher les chiens Mordre dans la chair Et signer de son sang Saigner les méchants... Pas se mouiller Mouiller l'autre L'autre trempé. Tromper l'amour. Et tout salir les mots Vomir du faux J'ignore la faille J'ignore et je taille, dedans, je crêve. d'envie que tu plonges, toi et le mensonge, dans le mépris. ... Tes poubelles La vérité violée Sur un trottoir humide L'œil révulsé D'un menteur avide Le mensonge affalé Sur un coin de bitume L'âme gaspillée De celle qui se consume. Le mensonge empêtré Dans une moue informe Affalé sur tes lèvres, Ivres comme si la vie était maligne Si ma douleur te faisait signe… La vérité violée Une nuit de fausse lune Un coin de toile cirée Sans une tâche aucune. La jouissance ratée D'un mensonge impudique Impuissant, dévasté Par une âme ironique Le corps fendu en mille Dégoulinant de mal La vérité enfile Sa robe de carnaval… Tu mens mais t'es seul T'es seulement bavard Tu parles et tu dégueules L'insensé de l'histoire Tu parles de laideur Et tu pilles l'impensable Tu craches sur l'honneur Et tu baises sur un coin de table. Et tu baves des rêves noirs Tu rigoles jaune comme la mort Tu crois plus à ton histoire Où l'enfant meurt parce qu'il dort. Le pire c'est cette fille Qui t'a pas entendu Venir de si loin Tes sabots à l'envers, Le pire c'est que tu brilles Même quand tu pues Et elle qui ne sent rien Elle qui sent la mer... Le compte à rebours Indécent parcours Je rêve que t'es sourd Qu'on mime l'amour, Que je te crie des mots Atrocement beaux Et que tu n'entends pas Tu cherches et tu sais plus... Le sens.

about

"Ma Langue au chat", le deuxième album de Marine Bercot, composé par Charly Mercier et Pierre Durand, est un disque fin, feutré, astucieux et stylé qui en dit long sur son univers instruit. Au fil des chansons à la douceur étrange, Marine Bercot effeuille des amours lunaires et parfumées et pointe aussi les déroutes, déprimes et dérailles de la vie. "Entre deux mondes", aux belles fulgurances, séduit particulièrement, tandis que "Des bouteilles à la mer" affirme un beau caractère prêt à s'enflammer sur scène". Gilles Médioni (L'Express, janvier 2008)

Album CD 2007 / Le Chant du monde (Harmonia Mundi)

→ Site web : www.marinebercot.com
→ Facebook : www.facebook.com/MarineBercotOfficiel
→ Tumblr: marinebercot.tumblr.com

→ Clip vidéo : www.youtube.com/user/MarineBercotChannel

credits

released November 5, 2007

Album CD 2007 / Le chant du monde (Harmonia Mundi)

Réalisation : Charly Mercier
Direction artistique : Alain Raemackers
Arrangements cuivres et bois : Pierre Durand
Musiciens : Marine Bercot, Pierre Durand, Charly Mercier, Jean-Michel Charbonnel, Lionel Boccara, Denis Benarrosh, Marc Grelier, Benoît Alziary, Sylvain Rifflet, Pascal Rousseau, Akemi Toyama-Mehlem, Boris Cacciaguera, Quentin Hindley, Olivier Denhaut

Enregistré, mixé et masterisé par Nicolas Baillard aux Studios La Buissonne (84)
Cordes, bois, cuivres, vibraphone & percussions enregistrés par Yannick Cayuela assisté de Ludovic Palabaud au Studio Acousti (Paris)

Graphisme : Charlotte Merle
Photos : Julien Magre
Produit et publié par Le chant du monde (Harmonia Mundi)

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about

Marine Bercot Paris, France

Marine Bercot propose pour 2021 un projet qui a commencé à vivre sa vie sur le web et sur des scènes, un projet basé sur un 3e album: "RAVI(E)S"

"Quelque part dans un possible entre Barbara et Lou Reed, entre le cabaret postmoderne et le hip hop lettré. Un élan fervent, prodigue et lumineux. " (B.Dicale)
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